Laréponse est non : vous n’avez pas besoin de permis pour pêcher du bord, contrairement à la pêche en rivière ou en eau douce en général, vous n’avez pas besoin d’acheter un permis de pêche pour pouvoir pêcher en mer. Quand Peut-on Télécharger des photos de Pêche au filet de la banque d'images libres de droits Grand choix des photographies de haute qualité Prix abordables . Images Vidéos Éditoriaux Musique et sons Outils . Entreprise Tchat direct . Tarifs. Photos. 1. Connexion Créez un compte. Photos de Pêche au filet 33,819 images de Pêche au filet sont disponibles sous licence libre de droits . Vidéos Lapêche à la ligne au bord de mer, c'est facile, à condition toutefois de suivre certains conseils.En douze leçons, les deux auteurs proposent à l'amateur de pêche en eau douce de s'initier à la pêche de bord de mer. Bien connaître la mer et les conditions de pêche, les principaux poissons de nos côtes, les appâts naturels et les leurres les plus efficaces, les Fast Money. Quel choix, quand ils apparurent sur la planète, les êtres humains effectuèrent-ils pour améliorer leur ordinaire ? La chasse ou la pêche ? La réponse n’est pas évidente. La chasse, on considère qu’elle est pratiquée environ depuis trois millions d’années. Son concept était bien différent de celui d’aujourd’hui. Il s’agissait d’une activité nourricière et non d’un loisir. Après l’apparition de l’agriculture à la période néolithique, entre 8500 et 3000 ans avant Jésus Christ, la chasse décline naturellement avec le développement de l’élevage. Elle est dès lors pratiquée uniquement dans le but de protéger les espèces animales domestiques des prédateurs. La chasse sera, plus tard, considérée comme un loisir dans l’Antiquité mais réservée, bien entendu, aux couches les plus riches de la société. En France, au Moyen Âge, elle sera la pratique privilégiée des nobles et à la cour des souverains. La pêche a-t-elle été parallèlement pratiquée ? Les historiens considèrent qu’il s’agit d’une activité beaucoup plus récente puisque son origine remonterait à ans environ. Cette datation est certifiée à partir des objets retrouvés mais aussi des ossements humains qui ont permis de démontrer que les hommes mangeaient du poisson, en particulier durant cette fameuse période du néolithique riche en inventions. Pour expliquer aussi cette différence dans l’expression des deux genres, on peut sans doute considérer qu’il était plus facile de concevoir une lance avec un silex qu’un hameçon à partir d’un os. Les cités lacustres étant très répandues dès la Préhistoire, il est probable que la pratique de la pêche était quand même une habitude, tout du moins en eau douce, bien avant cette barrière de ans. L’étude de poissons fossilisés ferait remonter cette pratique à quelques centaines de milliers d’années. Au bord de la mer, le prélèvement des coquillages ou des crustacés, ce qui est une forme de pêche, devait être également une activité occasionnelle. En haut l’usage de la senne est une pratique très ancienne. En bas le haveneau s’est vulgarisé dès la fin du XIXème siècle. L’Antiquité a boosté la pêche Mais c’est surtout avec l’évolution rapide de la technologie dans l’Antiquité que la pêche connut un véritable essor. L’activité était, tout comme pour la chasse à l’origine, uniquement nourricière. Ce sont les Égyptiens qui montrèrent la voie à suivre. Les fresques sur les temples le long du Nil, dans les tombeaux de la Vallée des rois à Louxor, sont édifiants. Sur les parois des salles, on distingue clairement les pêcheurs avec leurs filets qu’ils hissent à plusieurs sur leur embarcation, d’autres avec des haveneaux, des cannes, des harpons également. Le grand fleuve était riche en variétés de poissons avec ces fameuses perches géantes. Le poisson était la nourriture de base de tous ceux qui œuvraient à l’élévation des temples ou des pyramides. Si les Grecs, autre grande civilisation, ne semblent pas avoir été novateurs en termes de pêche sauf pour le Mérou qu’ils tentaient de piéger au mort-manié !, l’élite appréciait la consommation de poissons frais que l’on peut supposer pêchés avec les techniques empruntées aux Égyptiens qui avaient dix longueurs d’avance sur tout le monde. On remarquera que manger le poisson était une pratique généralisée autour du Nil et un privilège au pied de l’Acropole. Les Romains, quant à eux, pratiquèrent, semble-t-il, la pêche à plus grande échelle. Ils furent à l’origine des viviers et développèrent la pisciculture qui avait été inventée par les Chinois lors du millénaire qui précéda la naissance du Christ. Mais le prélèvement était avant tout réalisé à partir de filets pour alimenter l’énorme colonie romaine. Il n’y a pas que le vin et l’huile qui donnaient lieu à de très importantes transactions commerciales mais aussi cette denrée très appréciée qu’était le poisson. L’empereur Trajan avait conçu le célèbre grand marché de Rome qui porte son nom avec, notamment, cet objectif. Le marché situé à proximité de la colline du Capitole, comprenait cinq niveaux et 150 commerces. Le plus élevé était consacré, au-dessus de l’étage qui abritait les agents qui prélevaient la taxe sur les opérations commerciales et celui des épices, au poisson. Ce 5ème étage avait été choisi car il permettait d’installer des bassins desservis par deux aqueducs, l’un qui alimentait les poissons d’eau douce et, l’autre, les poissons de mer ce qui permettait de conserver toute leur fraîcheur. Le mot frigo » n’appartenait pas au vocabulaire latin. On aura remarqué qu’à travers ce petit résumé revient souvent le mot filet ». C’est l’arme absolue sous l’Antiquité. Les Romains en avaient fait un symbole dans les arènes avec cette catégorie de gladiateurs armés d’un trident et d’un… filet de pêche. Il est probable, qu’avec leur talent pour tisser, les Égyptiens en soient l’inventeur. C’est ce qui est le plus communément partagé. Donc l’origine du filet remontrait dans une période que l’on peut situer entre 3500 et 2000 ans avant l’ère chrétienne. A gauche le haveneau en ciseaux était très fréquent dans le nord de la France. A droite la carte postale s’empara beaucoup des filets pour célébrer les vacances en bord de mer. L’utilisation du filet fut progressive au XXe siècle Effectuons un grand bond en avant pour évoquer cette utilisation du filet dans l’ère moderne. Car si l’on accorde aux Égyptiens un créneau loisir » dans leur pratique de la pêche, cette notion est relativement moderne. Exception faite pour les moucheurs issus de l’aristocratie française du XVIIIe siècle pour la plupart, la notion de pêche de loisir oscille entre la fin du XIXe siècle et aujourd’hui. En vérité, l’utilisation du filet à travers le XXe siècle fut progressive et elle se diversifia au fur et à mesure où les décennies défilèrent. Ainsi, les premiers filets utilisés dans les pêcheries, par exemple, au titre du loisir, donc de ce que nous nommerions aujourd’hui la pêche récréative, le furent dès la fin du XIXe. Cette pratique était généralisée depuis fort longtemps puisque Duhamel du Monceau dans son Traité Général des Pêches publié en 1769 évoquait déjà l’utilisation du carrelet. Mais cet usage était professionnel. Les premières pêcheries de loisir ou destinées à améliorer l’ordinaire étaient rudimentaires. Il s’agissait d’un carrelet filet et d’une simple perche que l’on fixait sur la partie haute. Le tout était démontable. Le nom exact était le Bois de Bout ». Avec l’apparition des estacades, vers 1910, les pêcheries évoluèrent et devinrent progressivement fixes même si le treuil de relevage n’existait pas encore. Elles étaient destinées à cette époque à une clientèle huppée puis se vulgarisèrent avec l’avènement du Front Populaire en 1936 et les congés payés. La pratique la plus partagée était sans conteste celle qui consistait à utiliser un engin doté d’un filet pour la pêche à pied ce que l’on résumait sous une seule appellation, l’épuisette. Ce genre fit son apparition timidement à la fin du XIXe car il exigeait que l’on aille dans l’eau, ce qui était loin d’être la règle malgré la multiplication des stations balnéaires. C’est surtout avec cet énorme besoin de liberté né après les cinq années de la Grande Guerre que la plage se démocratise et, avec elle, la pêche à proximité et sur l’estran ou la cueillette sur les rochers. Phénomène nouveau, cette pratique est aussi féminine. Ceci est lié au fait qu’il était inconcevable à la fin du XIXe siècle qu’une femme se dévoile, même partiellement, en public, et que les mœurs ont évolué. La bonne société s’amusait aussi à pêcher à l’épervier. Haveneau et Trouble n’ont pas pris de ride En vérité, il y a deux engins qui sont utilisés et qui vont rester dans l’histoire. Dans le langage commun, ces filets sont une épuisette. En fait, c’est erroné car l’épuisette est un filet profond plus destiné, par exemple, à hisser un poisson à bord d’une embarcation qu’à pêcher. Pafex, 100% français, est le meilleur ambassadeur de l’épuisette. Les deux engins qui traversèrent le XXe siècle sans prendre une ride sont le Haveneau et le Trouble. Le premier cité comporte différents noms en fonction des régions comme c’est le cas aussi pour les poissons. Ainsi on parle aussi de bouqueton. Il s’agit d’un cercle ovale, en forme de raquette de tennis, rattaché à un manche en bois et doté d’un filet. Ce dernier était réalisé en chanvre alors qu’il l’est de nos jours en fils synthétiques, le plus souvent nylon, que ce soit en monofilament ou en multifilament. Le second engin était un Trouble ou Bouteux. Sa particularité faisait que la partie avant était défendue par une traverse en bois montée perpendiculairement sur le manche. La taille des mailles variait en allant crescendo de la partie basse vers le haut. Ces filets étaient destinés à deux pratiques. Le Haveneau ciblait la crevette rose, celle à rostre qui évolue dans les trous, sous les roches, à l’abri des algues dans l’eau. C’est la plus noble. Le Trouble était consacré au prélèvement de la crevette grise qui se meut sur le sable. La défense en bois permettait de pousser ainsi à la surface de ce sable en protégeant le filet tout en propulsant les prises au fond, là où les mailles étaient les plus petites. En fait, les deux crevettes ont la même couleur de robe, grise justement. La crevette rose c’est le Bouquet qui devient… rose à la cuisson. Le Bouquet est surtout le nom porté par les grosses crevettes roses en période de fêtes de fin d’année. Les grises sont nommées des Boucauds. Cette forme de pêche et restée très populaire. Quand vous vous promenez, l’été, le long des remblais ou les centres des stations balnéaires, on ne peut pas y échapper. Il y a toujours un Bazar » qui étale ses rangées de bouées en plastique ou d’épuisettes de diverses tailles. Ces dernières jouent un grand rôle dans l’initiation à la pêche pour les plus jeunes. D’autre part, pêcher avec un Haveneau ou un Trouble n’engendre aucune contrainte en dehors du fait qu’il faudra toujours laisser libres les toutes petites soles ou plies que le Trouble ne manquera pas de happer avec les crevettes. La Balance ciblait l’éperlan Si l’épuisette » fut et reste incontournable dans l’histoire de la pêche au filet, d’autres genres qui font appel au filet ont suscité un réel intérêt durant tout le XXe siècle pour les pêcheurs de loisir du bord. Le plus connu reste la Balance. Il s’agit d’un filet que l’on voit encore de manière diffuse se promener le long des jetées. Car la balance est mobile, facile à déplacer. Son objectif, en plus de la crevette, était avant tout l’éperlan, un salmonidé devenu rare et remplacé de nos jours par le prêtreau ou prêtre qui est un athérinidé. Il existait deux types de balance, une cylindrique, faite de deux ou trois cylindres superposés et une autre qui était une balance circulaire, au diamètre qui pouvait atteindre un mètre cinquante. Trois bouts à la taille légèrement supérieure au diamètre reliaient la balance au bout vertical autour d’une Tête de mort », un peu à l’image des bras d’une grande pêcherie, ce bout étant tenu à la main du haut de l’estacade ou de la jetée par le pêcheur. Au sein de ce filet on disposait quelques crabes verts pilés, un petit lest et le tour était joué. La pêche avait l’avantage d’être suivie visuellement, la sortie de l’eau devant s’effectuer très rapidement pour surprendre les prises potentielles. Aujourd’hui seule la balance circulaire est encore adoptée. On ignore souvent que ce nom de balance est celui du langage populaire, le vrai nom étant la Caudrette. On retrouve cette forme de pêche en taille XL avec une variante que l’on situera entre la Caudrette et la pêcherie fixe qui peut atteindre un volume relativement important avec sa cabane. Il s’agit d’un filet réservé encore au loisir mais large de trois à quatre mètres et qui nécessite la présence d’un bras en bois, sorte de hauban qui supportera l’ensemble, ce bras étant posé sur un support, lui aussi en bois. A l’extrémité du bras existe une petite poulie qui permet la remontée qui s’effectue à la main. Bien entendu, cette pratique nécessite la présence de deux ou trois pêcheurs. L’objectif était concentré autour des petits poissons du haut des jetées. Pour se différencier du Carrelet on parlait d’un Échiquier. Mais cette forme de pêche se conjugue au passé. On ne voit pratiquement plus d’échiquiers un peu encombrants et qui, le plus souvent, n’offraient pas de performances supérieures aux balances. Et tout ce que nous venons d’évoquer a ou a eu un point commun le coût très accessible de ces filets, ce qui participa à leur vulgarisation. Ceci, on le retrouva dans un genre qui s’est essoufflé mais très populaire durant la première partie du XXe siècle, la carte postale. Le filet et l’incontournable épuisette furent les objets de pêche les plus souvent associés quand il s’agissait d’évoquer les vacances au bord de la mer, les scènes de pêche, l’humour et, bien sûr, les poissons d’avril. Il existe encore quelques formes de pêche avec un filet issues de la nuit des temps et qui sont pratiquées dans quelques régions de France attachées aux traditions. La senne a ses inconditionnels Réservée avant tout à quelques professionnels, la senne, chez les récréatifs, est un sport d’équipe que l’on pratique sur le rivage mais déjà avec une belle profondeur d’eau et un grand filet de quelques dizaines de mètres de longueur. Le tramail incontournable au large Puisque nous évoquons ici l’unique pêche récréative, le Tramail, parfois appelé Trémail, est aussi le seul à imposer impérativement un bateau. Car il s’agit d’un filet qui se pose au petit large sur quelques mètres de profondeur. Son appellation tient au fait qu’il est formé de trois rangées ou rideaux de mailles qui sont inégales. L’utilisation du tramail permet de séduire avant tout des poissons plats comme la sole, les plies, les raies attention aux torpilles sur le sable, mais aussi des mulets, des vieilles, grondins, les inévitables tacauds… L’épervier se lance d’une embarcation sur de petits poissons, sardines, sprats, mulets et ce par mer calme. Si vous vous rendez dans le Saloum, au Sénégal, vous découvrirez ainsi la pêche à l’épervier qui vous fournira vos appâts pour la journée. En voilà une bonne question. Faut il un permis pour pêcher en bord de mer en France?Si comme moi vous voyez de plus en plus de pêcheurs en bord de mer le dimanche ou lors des grandes marées en Bretagne, et que vous êtes curieux sur la réglementation, la question est plus si vous aussi vous envisagez de pêcher le bar ou le maquereau en bord de mer ou même de ramasser des coquillages ou crustacés en réponse est non vous n’avez pas besoin de permis pour pêcher en bord de mer. Contrairement à la pêche en rivière ou à la pêche en eau douce de manière générale, il n’y a pas besoin d’acheter une carte de pêche pour pouvoir pêcher en bord de vous imaginez bien que ce serait trop facile d’en rester là. Car on parle de “carte de pêche” et non pas de “permis de pêche”.Malgré tout, il existe une réglementation à la pêche de loisir en bord de mer à connaître pour pêcher l’esprit tranquilleLe permis ou plutôt carte de pêcheLa carte de pêche est obligatoire pour pouvoir pêcher en eau douce, c’est à dire en eau non salée. C’est bien le caractère salé de l’eau qui indique s’il faut acheter une carte de pêche ou d’une carte de pêche n’est en rien déterminé par le type de poisson que vous souhaitez pêcher, ni par le lieu où vous allez pêcher. La carte de pêche est valable un an, du 1er janvier au 31 décembre. Vous pouvez l’acheter en ligne ou bien dans une association de pêche à proximité de votre lieu de résidence ou de l’endroit où vous souhaitez pêcher. Attention, une carte achetée le 1er novembre par exemple ne sera valable que 2 définitive, la question à se poser pour savoir si il vous faut acheter une carte de pêche pour pêcher en bord de mer est l’eau dans laquelle je vais pêcher est-elle salée? Simple non?… Et avez-vous pensé aux eaux mixtes?Eau salée ou eau douce? Telle est la questionC’est la question que toute personne souhaitant s’adonner à la pêche doit se poser pour savoir si il y a besoin d’une autorisation spéciale pour pouvoir vous êtes certain de pêcher dans la mer, vous n’avez pas besoin de carte de pêche. Mais il faut en être certain. Vous allez me dire que l’eau est soit douce soir salée. Oui et non au regard du problème de la carte de pêche. Laissez-moi vous expliquer. Dans certaines régions, il n’est pas rare de trouver des endroits où l’eau salée et l’eau douce se mélangent. Est-ce que cela en fait pour autant de l’eau salée au regard de la réglementation de la pêche de loisir? Oui et Bretagne par exemple, il n’est pas rare de trouver des rivières avec un fort taux de salure. C’est pas très joli comme mot mais il est important. Si bien que certains poissons de mer remontent les rivières. On peut trouver du mulet et de la truite au même endroit. Alors, carte ou pas carte?Ce n’est pas un taux chiffré qui dicte la règle. La limite entre eau salée et eau douce est physique. Il s’agit la plupart du temps d’une barrage ou d’un ouvrage hydraulique. En amont de l’ouvrage, c’est à dire dans les terres, la carte de pêche est obligatoire. En aval de l’ouvrage, vers la mer, la carte de pêche n’est pas faut donc être vigilant car un emplacement de pêche mal choisi peut vous conduire à être verbalisé par les autorités pour non détention de la carte de pêche police, gendarmerie, office national des forêts, association de pêche, garde de pêche…Vous vous exposez à 2 types de sanctionsUne amende forfaitaire pénale de 450€Une indemnité civile forfaitaire de 150€Vous aurez beau dire que vous pêchez du poisson de mer, rien n’y fera. Mieux vous donc savoir où vous mettez les pieds!Les règles de la pêche de loisirs en bord de merOn a donc vu qu’il n’est pas nécessaire d’avoir un quelconque permis pour pêcher en bord de mer. Bien. Malgré tout, il semble important de garder à l’esprit les règles de la pêche en bord de mer. Car si vous ne risquez pas de vous faire verbaliser pour défaut de carte de pêche, vous pourriez l’être pour de multiples autres d’abord, toute prise est réservée à votre consommation personnelle ou celle de votre famille. Vous ne pouvez la revendre. Cela veut dire aussi que vous ne pouvez pas acheter un poisson à un pêcheur en bord de mer pour prétendre que vous avez fait une belle prise en rentrant à la pêche à pied en bord de merVous pouvez pêcher à pied en bord de mer sur le domaine public maritime, ainsi que sur les parties de fleuves ou rivières ou canaux où les eaux sont certaines régions imposent une taille minimale de poisson, coquillages ou crustacés à respecter selon les espèces. Je vous invite à contacter les autorités locales pour plus de vous pêchez du poisson, vos prises doivent être marquées. Il faut couper la partie inférieure de la nageoire caudale arrière. Je vous invite donc à avoir un bon ciseau dans votre équipement de pêche en bord de manière générale, contactez les autorités locales, Direction Interrégionale de la Mer, pour connaître les périodes autorisées pour la pêche en bord de mer, les espèces, la taille et la quantité interrégionale de la mer – Manche-Est Mer-du-Nord DIRM Direction interrégionale de la mer – Nord-Atlantique Manche-Ouest DIRMDirection interrégionale de la mer – Sud-Atlantique DIRMDirection interrégionale de la mer – Méditerranée DIRML’amende pour le non respect des règles de la pêche à pied en bord de mer peut aller jusqu’à 25000€! Ouch!La pêche en bateau en bord de merVous devez disposer de toutes les autorisations et documents requis pour la conduite d’un bateau sur la mer permis, carte de circulation, assurances éventuelles…La liste des équipements autorisés dans le bateau est préciseLignes gréées pour un maximum de 12 hameçons2 palangres munies chacune de 30 hameçons au maximum2 casiers1 foëne1 épuisette ou salabre »1 grappette à dents uniquement en mer Méditerranée1 filet trémail sous certaines limites de tailles uniquement en mer du nord, Manche et Atlantique1 carrelet par navire et 3 balances par personne embarquée uniquement en Bretagne, Pays de Loire et Aquitaine.Je vous invite à consulter le site du service public pour plus de détails sur la pêche récréative en mer en bateau à lire ici.La pêche sous marine en bord de merVous devez être titulaire d’une assurance responsabilité civile. En cas de contrôle, vous devez être en mesure de justifier de votre identité et de cette pêche au harpon est autorisés pour les personnes ayant plus de 16 ce qui est formellement interditUtiliser un appareillage pour respirer l’usage simultané d’un outil de pêche est formellement interditUtiliser un engin de pêche à détonation. L’engin doit être actionnée uniquement par le pêcheur et rien d’ la nuit entre le coucher et le lever du soleilPêcher à moins de 150 m de navire ou de filets de pêche balisésPrendre le poisson pris dans les filets d’autres pêcheursUtiliser une lumière pour rechercher ou attirer le poissonUtiliser une foëne peigne ou un appareil spécial pour pêcher les crustacésTenir hors de l’eau un appareil spécial pour la pêche sous-marineEncore une fois, renseignez vous sur les périodes de pêche, les espèces, les tailles etc auprès de la Direction Interrégionale de la que vous savez qu’il ne faut pas un permis pour pêcher en bord de mer, vous pouvez vous équiper et vous lancer! Enfin plutôt votre ligne! Gardez à l’esprit qu’il faut avant tout bien se renseigner auprès des autorités locales sur ce qu’il est possible de faire ou non. Bonne pêche! La pêche n’est pas une activité qui s’improvise, et celle du bar encore moins ! En effet, le bar est un poisson relativement difficile à pêcher, et il vous faudra tenir compte de plusieurs paramètres. Selon la température qu’il fait, l’heure ou encore la météo, le bar peut se trouver soit en surface, entre deux eaux, ou en profondeur. Par ailleurs, son abondance ou sa rareté dépendent de certaines périodes de l’année. Ces points rendent la pêche du bar en bord de mer très technique et font qu’elle nécessite un certain apprentissage avant de se lancer. Dans cet article, profitez de conseils de premier ordre pour vous adonner à votre loisir et ramener sur votre table ce poisson de mer. Sommaire1 Connaître le régime alimentaire et les mœurs du bar2 Les périodes de l’année favorables pour pêcher le bar3 Les moments de la journée favorables à la pêche du bar4 Le choix de la technique pour pêcher le bar en bord de mer5 Le choix des leurres Connaître le régime alimentaire et les mœurs du bar Le premier conseil à donner est de prendre connaissance du régime alimentaire et des mœurs du bar. Le régime alimentaire de ce poisson varie en fonction de la saison et le maîtriser permettrait au pêcheur d’avoir une longueur d’avance. Il saura ainsi quoi utiliser comme appât en fonction de la saison. En hiver, le bar se nourrit de puces de mer et de lançons. Il est plutôt chétif à cette période. Quand vient le printemps, son régime alimentaire est essentiellement composé de crabes mous qui constituent ses proies préférées. En période d’été, il y a une abondance de sprats. Ceux-ci détrônent ainsi les crabes mous en devenant le mets principal du bar. Quand vient l’automne, le régime alimentaire du bar change encore ce sont les crevettes qui constituent son principal repas. Pour ce qui est de ses mœurs, des études nous renseignent que le bar n’est pas un amateur de la profondeur. Il a besoin d’une eau bien oxygénée et il obtient cela lorsque la profondeur est faible. Pour augmenter ses chances de trouver le bar, le pêcheur doit privilégier une profondeur maximum de 5 mètres. Après avoir pris connaissance des habitudes alimentaires du bar, il est aussi important de savoir quels sont les moments favorables pour la pêche du bar. Les périodes de l’année favorables pour pêcher le bar Le bar est un poisson que l’on retrouve dans l’eau à tout moment de l’année. Toutefois, il existe des périodes au cours de l’année favorable à la pêche de ce carnassier de mer. Pour augmenter ses chances d’attraper le bar, l’une des périodes conseillées pour la pêche est la période mars-avril. En effet, cette période marque le démarrage d’une nouvelle saison de bar. Pendant cette période, les poissons-bars qui se sont éloignés vers le large commencent à venir vers les côtes à l’occasion du printemps. Une autre période favorable à la pêche du bar est celle allant de début mai à fin juillet. Pendant cette période, les bars continuent à se rapprocher des côtes. Au courant du mois de juin, ils deviennent très actifs. Ils se rapprochent ainsi de la plage pour traquer les lançons qui sont leurs proies préférées en cette période. Le mois d’août est également favorable pour la pêche du bar en bord de mer. Ceux-ci viennent plus fréquemment sur les plages en journée comme dans la nuit pour chasser leurs proies. À ce moment, il est conseillé de pêcher tôt le matin ou tard le soir, car les bars sont très agressifs. Il suffirait alors d’agiter un appât sous leur nez pour qu’ils se jettent dessus. Pendant la période allant de septembre à octobre, il fait moins chaud. Les bars reviennent alors progressivement sur les côtes. Avec l’abondance de proie au large, ceux-ci ont suffisamment à manger. On a donc beaucoup de chance à cette période de débusquer des bars énormes, surtout si on a un bateau. Au courant du mois de décembre, on retrouve encore des bars sur les plages. Tel est par exemple le cas en Bretagne où à cette période, il est possible d’en avoir de très gros. La période allant de fin décembre jusqu’en mai est qualifiée de saison de frai. Les bars disparaissent carrément des côtes et se retrouvent au large. La pêche du bar en bord de mer devient alors difficile pendant cette période. Toutefois, il existe toujours des bars hyper actifs que l’on peut avoir la chance de pêcher. Les moments de la journée favorables à la pêche du bar Certes, l’on peut pêcher le bar à n’importe quel moment de la journée. Toutefois, il existe des moments de la journée qui permettent au pêcheur d’accroître ses chances de débusquer ce poisson. Le lever et le coucher du soleil sont des moments clés pour prendre son matériel et aller à la pêche au bar. Pendant ces moments, intervient un changement de luminosité. L’œil du bar s’habitue lentement à ce changement et il prend un certain temps à s’adapter. Puisque la vue des autres poissons s’affaiblit aussi pendant cette période, le bar met en exergue ses atouts de prédateurs pour s’attaquer à ses proies qui ont du mal à le voir venir. La nuit est également un moment favorable de la journée pour pêcher le bar. La pêche dans la nuit est beaucoup plus rentable en période d’activité nautique. Puisque les bateaux inondent la côte en journée, les bars préfèrent se cacher. Ils sortent alors dès la tombée de la nuit et se rendent sur la côte pour chasser leurs proies. Il est donc conseillé par exemple en période d’été de pêcher le bar dans la nuit, car en journée ceux-ci fuient la côte à cause de la grande activité qui y règne. Le choix de la technique pour pêcher le bar en bord de mer Il existe de nombreuses techniques pour pêcher le bar en bord de mer. Celle qui est la plus recommandée est la pêche du bar aux leurres. Cette technique est le plus utilisée. Comme son nom l’indique, elle suppose l’utilisation d’un leurre pour attirer le bar. Ce leurre est un poisson fait soit en matière solide ou en matière plastique. Cette technique porte des fruits, car elle permet de susciter davantage la curiosité du bar qui est un carnassier très curieux. Avec une bonne animation, les bars ne résistent pas longtemps à se jeter sur ces leurres. Le choix des leurres Il est conseillé en plus d’utiliser des leurres aux couleurs vives, elles auront pour effet d’attirer davantage ce carnassier de mer. Pour attirer le bar, certains leurres sont recommandés. On peut alors utiliser Super X-Layer c’est le leurre le plus prenant de la gamme Megabass. Le One Up shad c’est un leurre très simple à utiliser. Les modèles conseillés sont les 3 et 4 pouces. Asturie 110 c’est un excellent leurre de surface avec des prises régulières. Z Claw un leurre très connu par les pêcheurs de bars. Le joker Xorus ce leurre imite parfaitement le sprat qui est une des proies préférées du bar en été. En plus, sa nage imite celle d’un poisson en fuite, ce qui attirera le bar. Press Bait Fusion 90 ce leurre est idéal pour la pêche dans les vagues. Vous pouvez donc vous rendre sur la boutique Leurres Mania pour acquérir ces leurres. Il est important de noter que le choix du leurre à utiliser dépendra de l’attitude du poisson. Si les bars à pêcher sont à la surface, il est conseillé d’utiliser des poissons-nageurs avec des bavettes courtes. Si par contre les bars se trouvent en profondeur, ce sont les poissons-nageurs à grande bavette qu’il faudra alors utiliser. En dehors des leurres, il faut également se munir d’un matériel adapté pour se lancer à la chasse de ce carnassier de mer qu’est le bar. Ainsi, il faut s’équiper d’une canne plutôt légère, pesant environ 300 grammes. Côté longueur, il est préférable que la canne ne dépasse pas les 3 mètres. Pour bien animer le leurre, il faudrait avoir un moulinet de 3000 ou 4000.

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